Un Bon Copain - LInitiation De Béatrice 06
UN BON COPAIN - Linitiation de Béatrice 06
Alors que je vais sur mes vingt-deux ans, je drague Béatrice une gamine dix-huit ans, me promettant bien de la déniaiser en lemmenant batifoler à minuit sur les pelouses du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse. Dans une auberge en bord de Seine près de Villeneuve-Saint-Georges, je linitie à la fellation et je dépucèle son petit cul. Puis, au retour, je la persuade de masturber un voyeur dans la forêt où nous faisons lamour.
Je retrouve Béatrice le soir même et je la prépare à accepter les amours multiples. Il est vrai que nous avons commencé avec le voyeur de la forêt de Fontainebleau lorsquelle a accepté ses attouchements sur ses seins et de le masturber jusquà léjaculation complète. Mais il va falloir à présent aller plus loin avec un autre homme en attendant que ma chère Cécile puisse linitier aux joies du saphisme. Béatrice est étonnante, en une dizaine de semaines, elle est passée de létat de pure innocence à la condition dune parfaite salope, acceptant tout ce que je lui propose. Elle avale sans vergogne mon sperme et ne sest pas dérobée lorsque je lai sodomisée pour la première fois. Elle se montre très amoureuse il est vrai, toujours prête à faire lamour à nimporte quel moment et nimporte où. Jai même réussi à la persuader de ne plus porter de culotte ni de soutien-gorge. Je peux la trousser à tout moment, même en public, glissant mes mains sous sa jupe et la masturbant jusquà ce quelle crie grâce. Les regards désapprobateurs ne lempêchent pas de membrasser à bouche que veux-tu alors que je pelote ses seins. Elle est toute à moi, se montrant une vraie tigresse lorsquune fille me regarde avec un peu trop dinsistance. Pourtant, il va falloir quelle accepte de faire lamour avec dautres hommes pour que je puisse respirer et sauter dautres filles en sa présence.
Je pense à mon ami Bernard qui ma bien rendu service avec des photos compromettantes dune mature que je convoitais depuis longtemps (voir la Présidente), aussi, je lui propose de lui offrir ma conquête du moment dans une partie à trois. Celui-ci a les yeux brillants lorsque je lui explique que ma « fiancée » nest pas au courant, mais que je me fais fort de lui faire accepter de lui faire une fellation, et même de se faire baiser et enculer par nous deux.
Bernard, possesseur dune carte de presse, a beaucoup de contacts dans différents milieux et profite largement davantages liés à sa profession. Il me propose, lors dun prochain week-end, de profiter dune suite dans un hôtel classé quune de ses relations met à sa disposition lorsquil en a besoin. Je saute sur loccasion et emmène ainsi ma chérie dans cet hôtel de charme sous le prétexte dun week-end coquin, lui promettant des surprises agréables.
Lorsque nous prenons possession de la suite que Bernard a pu nous procurer gracieusement, Béatrice sextasie devant le luxe dont nous allons profiter. Elle veut tout de suite faire lamour sur le lit à baldaquin aux draps de satin qui trône au milieu dune chambre immense. Mais je veux dabord lemmener dîner dans les jardins de lhôtel où nous apprécions les mets délicieux qui nous son servis avec du champagne tout au long du repas. Lorsque nous remontons dans notre suite, Béatrice est un peu pompette. Je lui propose un jeu, lui demandant de se soumettre à toutes les fantaisies que je veux lui offrir pour cette nuit de folie. Elle accepte, bien entendu, et se laisse bander les yeux avec un foulard. Ensuite, je lui attache ses poignets aux barreaux du lit à baldaquin, mais de façon un peu lâche afin quelle puisse sasseoir ou sallonger à sa convenance. Je lui ai laissé sa robe en soie sous laquelle elle est nue, trouvant quil est plus érotique de la trousser et surtout de faire découvrir à mon ami Bernard les trésors de ma bien-aimée.
- Vas-y ! Baise-la ! Fourre-lui ta queue bien profonde. Elle adore !
Bernard ne se fait pas prier et prenant Béatrice de ses deux bras sous les fesses, il enfourne son vit dans le conin de ma belle qui frétille dimpatience. Elle pousse un cri lorsque lengin vient bien à fond, buter contre son utérus, mais elle se met bientôt au diapason de son baiseur, accompagnant de son bassin le va-et-vient furieux de la verge qui la pourfend. À ce moment, je lui pousse mon pénis dans sa bouche grande ouverte et lenfonce au fond de sa gorge. Dabord surprise, elle me pompe le vit comme elle le fait dhabitude, mais elle comprend aussi que deux hommes sont en elle et elle recrache mon vit en criant sa colère.
- Salauds ! Michel qui est avec toi ? Oh Mon Dieu que me faites-vous ? Cest affreux ! Jai honte ! Que me fais-tu faire ?
À ce moment, je lui dénoue le foulard qui entoure ses yeux et elle me voit au-dessus delle, tandis que Bernard la tenant sous les fesses est encore complètement enfoui en elle. Elle écarquille les yeux devant cette scène pour elle irréelle. Cest alors que je finis de laffoler.
- Mais ma Chérie, tu viens de prendre largement ton pied. Bernard, après que tu las sucé divinement, tas dévoré ton minou et tu ne peux pas dire que tu nas pas aimé ça. Tu ne peux nier non plus que depuis le temps quil te baise, tu cries ta joie à te faire pilonner par sa queue. Laisse-nous taimer à deux ma Chérie.
Minterrompant, je mempare de sa bouche et lembrasse tendrement. Béatrice laisse des larmes sécouler de ses jolis yeux, mais elle répond à mon baiser pendant que Bernard reprend ses va-et-vient. Ma belle me regarde avec tendresse et affolement mélangé, mais elle laisse bientôt son corps réagir et répond avec fougue aux coups de boutoir de son baiseur. Je lui triture avec mes doigts ses tétons pour laffoler encore plus, tout en lembrassant profondément, mordillant ses lèvres jusquà ce que son orgasme se déclenche, lui faisant hurler sa jouissance.
- Oh ! Oui ! Continuez mes chéris ! Vous êtes des salauds ! Vous z de moi ! Mais cest bon ! Ouuuuiiiiiiiiiii......... Oh ! Quel bonheur ! Oh ! Oui ! Aaaaaaaaaaahhhh !
Pendant que Béatrice prend son pied, Bernard, se retire et éjacule sur le ventre et les seins de la fille quil vient de baiser. Je détache les poignets de ma belle et nous linstallons entre nous deux, lui embrassant les lèvres et les seins à tour de rôle. Elle se laisse faire, nosant pas nous regarder, ayant de toute évidence honte de sêtre laissée aller à crier son bonheur. Mais elle se laisse tout de même embrasser par Bernard, répondant même à ses baisers en mélangeant sa langue à la sienne. Elle va même jusquà prendre sa verge entre ses doigts pour la tâter et la masturber. Je regarde cela avec une pointe de jalousie, mais aussi avec une grande perversité, songeant à tout ce que je vais pouvoir faire faire à ma dulcinée. Comme je me sens désuvré, je me glisse entre les cuisses de ma bien-aimée et je contemple avec ravissement la chatte bordée de ses poils frisés noir de jais. Ceux-ci ourlent joliment les lèvres charnues à la chair brune qui souvre sporadiquement sur la chair rose orangée du vagin. Japerçois ainsi lantre mystérieux dun rouge sombre dans lequel je glisse deux doigts, écartant ainsi ses chairs intimes. Je glisse un doigt de mon autre main vers la rosette de lanus qui se rétracte fortement lorsque jappuie fermement sur le plissement du trou du cul. Pourtant, je nhésite pas une seconde à perforer de mon doigt le sphincter qui enserre mon doigt qui pénètre dans le rectum. Écartant toujours les grandes lèvres de mon autre main, je vois bien le doigt qui écarte la paroi séparant le rectum du vagin. Il faut tout de même quelle soit à la fois élastique et fiable pour résister à la pénétration simultanée de deux verges de fort calibre ou même de deux mains ou plus lors de séances de fists corsés. Javoue que je rêve dune double pénétration et je pense que cette nuit ma tendre oie blanche va passer à la casserole. Dailleurs pour la préparer, je la dispose afin quelle soit à genoux et quelle puisse ainsi faire une fellation à Bernard. Pendant ce temps, je la prends en levrette dans son vagin pour bien humidifier ma queue, ensuite, je présente mon dard devant son anus et mintroduis dun seul jet dans le rectum qui a pris lhabitude depuis plus dun mois dêtre sodomisé. Béatrice adore être prise ainsi, presque depuis le premier jour où jai dépucelé son cul. Je crois quelle éprouve encore plus de plaisir de se savoir enculée que baisée dans son vagin.
Son attirance pour la soumission est certainement le moteur qui lanime, elle ma demandée plusieurs fois de la fouetter à nouveau avec des orties et je lai même initiée à recevoir de la cire chaude en provenance de bougies allumées sur ses seins et sur son pubis ainsi quà lintérieur de son vagin. Lors de ces séances, elle sétend sur une table et ne veut pas être attachée. Elle écarte delle-même ses jambes et ses cuisses et me demande de mettre un coussin sous ses fesses. Ainsi disposée, elle écarte avec ses doigts son vagin, se masturbant pour mouiller le plus possible, puis elle minvite à lui faire couler la cire brûlante sur son corps. Je commence par ses seins en prenant deux bougies que je tiens dabord à un bon mètre de sa poitrine, laissant les gouttes chaudes frapper les mamelons et quelquefois atteignant les tétons. Puis je descends progressivement jusquà nêtre quà quelques centimètres de la chair tendre qui reçoit la cire brûlante, quelquefois encore enflammée et qui recouvre bientôt entièrement chaque mamelon. Béatrice supporte stoïquement cette douce . Il est vrai que la cire chaude refroidit aussitôt et quaucune trace de brûlure ne subsiste après la séance. Ensuite, je reprends deux autres bougies et je les fais sécouler sur son ventre jusquau pubis. Puis je fais le tour des grandes lèvres que Béatrice tient écartées avec ses mains. Je laisse couler la cire sur le clitoris, le recouvrant entièrement. Béatrice pousse de petits gémissements à ces moments douloureux, mais, dun regard, elle me fait signe de continuer. Alors approchant une bougie au plus près du vagin grand ouvert, je laisse couler la cire à lintérieur des chairs humides de la cyprine produite par lexcitation. La cire coule au plus profond de la cavité utérine faisant faire des soubresauts à Béatrice qui me crie enfin darrêter. Je retire toute la cire séchée des mamelons et du ventre, puis jécarte le plus possible les grandes lèvres et entre toute ma main dans la gaine vaginale afin de racler avec mes doigts la cire refroidie. Je crois que Béatrice prend un grand plaisir à ce que ma main qui la fiste, lui occasionne en même temps de la douleur et des orgasmes qui se multiplient à chaque fois.
Mais pour linstant, je lencule proprement, allant au plus profond de son rectum et la fessant en même temps. Elle remue son cul à la cadence de mes va-et-vient, mais soudain, je la bascule vers moi et me mets sur le dos. Elle se prête au jeu et prenant appui sur ses avant-bras, elle maintient la cadence. Je fais un clin dil à Bernard et comme nous nous en étions convenus, il vient se mettre à califourchon sur Béatrice et tout en lembrassant pour détourner son attention, il introduit son vit dune main dans le vagin entrouvert. Aussitôt que Béatrice sent le mandrin sintroduire dans sa gaine vaginale, elle proteste en essayant de se dégager.
- Non ! Arrêtez ! Vous êtes fou ! Ce nest pas possible, vous allez méventrer !
Mais je la maintiens fermement contre moi de mes deux bras et Bernard a réussi à engager sa queue qui vient buter contre la mienne. Je la sens qui palpite comme si aucune membrane ne nous séparait. Cest une sensation extraordinaire. Pendant ce temps, Béatrice vocifère contre les deux hommes qui nt delle.
- Arrêtez !
. Nooooon..... Arrêtez ! Sanglote-t-elle, - vous aller me fendre en deux... Pitié... Noon..... Vous me déchirez... Je vous en supplie arrêteeeeeez ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......
Mais il est trop tard, nous la baisons et lenculons en cadence ; lun sortant pendant que lautre senfonce au plus profond, soit du rectum, soit du vagin. À certains moments, nous arrivons même à entrer tous les deux en même temps, nous masturbant nos bites à travers la fine cloison qui sépare les deux conduits. Béatrice ne pleure plus ni ne proteste depuis un moment. Elle nous accompagne même avec tout son corps qui semboîte profondément entre les deux nôtres. Nous sentons quelle prend son plaisir en même temps que nous et bientôt, elle se lâche.
- Oh ! Mes Amours ! Je vous aime ! Continuez ! Encore ! Encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! Oui ! Oui ! Oui ! Ooooh ! Oh !.......... Mhhhh.... Oh !........... Encoorrrr !... Je jouis ! Oui ! Oh ! Je
Je
.. jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Aaaaaaaaaaahhhh !
Cette fois, je sens que nous sommes au nirvana avec cette donzelle. Je sens ma semence qui circule dans lurètre et, presque en même temps que Bernard qui a pris de lavance, nous lâchons notre sperme dans les deux conduits. Nous restons tous les trois étroitement enlacés pendant presque vingt minutes, réticents à nous séparer après cette folle chevauchée qui nous a donné un plaisir exceptionnel. Nous faisons des petits bisous à Béatrice qui se laisse faire dans un état second. Cest avec stupéfaction que nous sentons nos sexes se regonfler à lintérieur du corps pantelant de notre proie. Celle-ci se rend compte que nous allons encore la baiser et lenculer. Nous nous attendons à ce quelle proteste, pourtant, cest dune toute petite voix quelle nous demande.
- Michel, je sens que vous allez encore me prendre tous les deux, mais si tu veux bien, je voudrais tavoir par-devant et Bernard pourrait venir dans mon derrière. Tu veux bien mon Chéri ?
Je manque éclater de rire à cette demande aussi puérile de ma dulcinée. Mais aussitôt nous retournons Béatrice qui vient se mettre sur moi par-devant, elle sintroduit elle-même ma pine dans sa chatte, alors que Bernard sapprête à lenculer en ouvrant ses fesses. Nous voilà donc repartis pour un tour de manège. Enculant et baisant à qui mieux mieux la belle brune qui a repris de la vigueur et qui mélange sa langue à la mienne pendant que ma queue ramone sa gaine vaginale et que Bernard lui défonce son troufignon. Nos queues encore une fois se frottent lune contre lautre, accentuant les sensations que nous éprouvons avec notre femelle. Nous ne sommes pourtant ni lun ni lautre homosexuel, mais nous éprouvons du plaisir à nous toucher par rectum et vagin interposés. Lorsque bien plus tard, nous arrivons au terme de notre chevauchée, ayant bien du mal cette fois à éjaculer, nous nous écroulons tous les trois, épuisés et nous endormons instantanément. Lorsque deux heures plus tard, nous nous réveillons, nous décidons de prendre un bain ensemble, pour nous laver et nous détendre. La salle de bains est immense et nous tenons à laise tous les trois dans la baignoire digne dune piscine. En riant, nous nous savonnons mutuellement, nos doigts se mélangeant sur et dans nos sexes. Je savonne le sexe de Bernard qui en fait autant sur le mien. Nous découvrons avec curiosité et plaisir le sexe dun autre homme qui ne tarde pas à entrer en érection. Sans aucune gêne, nous nous laissons masturber lun par lautre devant Béatrice qui nous regarde, tout de même un peu étonnée. Chacun agit avec la plus grande douceur et avec fermeté à la fois et nous regardons dans leau transparente nos verges qui deviennent, de plus en plus rigides. Nous navons aucune envie dinterrompre cette masturbation magistrale, aussi, cest jusquà léjaculation que nous laissons nos doigts masturber lautre. Béatrice se penche devant nos deux queues réunies pour absorber le liquide séminal qui sen écoule. Elle prend les deux verges dans sa bouche, nous donnant encore des sensations inconnues et les suce jusquà la dernière goutte. Je me promets que sil y a une prochaine fois, je prendrai la verge de Bernard dans ma bouche pour y goûter.
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